Rangés par ordre comico-tragique (du plus drôle au plus triste):
- “Le nouveau (ou: La clinique psy et le trouble bipolaire pour les nuls”.
- “BIPOLAROID CLUB: HOW TO DEAL WITH YOUR BIPOLAR DISORDER”.
- “Chronique interprétative de ‘Mortel’ de Fishbach”.
- “BIPOLAROID: IMPASSE OU EXUTOIRE? (UNE APOSTROPHE ET SYNTHÈSE)”.
- “LA MORT”.
- “Épilogue (?): psychose, perversion, et terrorisme”.
Et… La Septième “Merveille” de Bipolaroid (hommage profond à ma petite angelesse Sierrα…): la vidéo ci-dessous. Note importante: dans cette vidéo, réalisée au mois de mai 2022 alors que je résidais en clinique, à la fin du texte introductif je décrète avoir trouvé à travers la course de fond un moyen parfait de “stabiliser” ma psychose. C’est totalement faux: j’étais alors en phase hypomaniaque (voire maniaque tout court), chaque jour je m’échappais de l’enceinte de la clinique (sans que jamais l’on ne me surprît) pour courir à travers champs et bois jusqu’à 15, 20, 25 km… J’en faisais beaucoup trop, ce qui ne fit au final que me faire retomber en dépression. Ce fut une très, très forte déception⋅désillusion — d’autant plus forte que, dans ma “jeunesse”, avant de devenir bipolaire, j’étais capable avec une facilité déconcertante (et à des vitesses beaucoup plus soutenues) d’encaisser ce genre de volume de pratique sportive. Depuis, j’ai totalement arrêté le sport et me suis (re)mis à beaucoup fumer (le tabagisme n’a pratiquement aucune influence négative à l’égard des troubles bipolaires; en revanche, au niveau physiologique…). J’envisage bien évidemment à plus ou moins court terme de reprendre à petite dose la pratique de la course à pied. Lorsque l’on souffre d’un trouble bipolaire, tout doit être (hélas?) fait avec mesure!