Quand je suis au plus bas et que je m’emmerde, je me tourne vers mes vieilles obsessions et accomplis ce que j’aurais dû accomplir lorsque j’écrivais des milliers de délires autour du seul mot “Fishbach” sans jamais m’intéresser vraiment à la musique: j’écris des chroniques simples et concises, générales, dans lesquelles mon histoire ne filtre qu’en quelques rares filigranes. Et comme je suis dans une phase où je suis persuadé que j’écris mieux en anglais qu’en français j’écris en anglais et, subséquemment, de façon désespérée, j’envoie la chronique à la revue NME en priant pour que jamais ils ne la publie — sans quoi Fishbach serait capable vu mon passif de se sentir harcelée à une échelle internationale (LOL). Mais si la satisfaction est forte, l’amertume à penser au temps perdu pour arriver à un résultat si tardif est lourde — mais comme toujours mieux vaut tard que jamais.
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One thought on “Temps libre: The Story Of ‘A Ta Merci’ (Fishbach, 2017)”